La mairie de Bordeaux, dans sa course effrénée aux revendications du lobby homosexuel, a pour la première fois accepté d’honorer les « déportés homosexuels » lors de la cérémonie du souvenir.
Pour Julien Pellet (photo), du « Mémorial de la Déportation Homosexuelle » (MDH), il s’agit de rendre hommage aux « 70.000 homosexuels qui sont morts dans les camps nazis ». Le problème pour cet ancien secrétaire de l’Association Lesbian & Gay Pride Bordeaux, c’est que l’histoire semble plus complexe.
Selon l’ouvrage écrit par plusieurs historiens « La déportation pour motif d’homosexualité en France. Débats d’histoire et enjeux de mémoire », il apparaît que le nombre de déportés français pour motif d’homosexualité n’était que 62, dont aucun originaire de Bordeaux ! Cet ouvrage est même contesté par Serge Klarsfeld, avocat de la cause des déportés en France selon lequel « de France, il n’y a pas eu de déportation d’homosexuels (…) Les personnes homosexuelles qui ont pu être arrêtées en France ne l’ont pas été en raison de leur homosexualité ».
Pourtant, selon le militant homosexuel Julien Pellet, « continuer à ignorer ce fait historique constituerait de l’homophobie » !
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Toujours cette désinformation de la part de ces associations LGBT qui n’arrêtent pas d’inventer ou de mentir.
Et Juppé qui suit. Quelle honte ce maire.
En même temps, ils restent cohérents dans l’utilisation de faits à usage politicien. Sur ce sujet les prises de position se suivent et se ressemblent. Maintenant, s’ils ont raison qu’ils en apportent la preuve. Sinon, ils se mettraient eux-aussi au service des mots des plus grands dictateurs et de leurs sbires (Hitler, Staline, Goebbels…) qui claironnent sans cesse “Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose”.