Les faits remontent au 29 juillet dernier. Une femme de 30 ans avait été agressée sexuellement alors qu’elle faisait un jogging au bord du lac de Bordeaux.
Un marocain de 24 ans avait surgi d’un buisson, avait ceinturé sa victime au niveau de la taille. Elle avait ensuite subi des attouchements avant de réussir à se défaire de l’emprise de son agresseur et à s’enfuir.
En déposant plainte auprès du commissariat de Bordeaux, la victime a pu identifier son agresseur sur une série de photos, mais surtout grâce aux traces ADN laissées sur ses vêtements.
Ce vendredi 17, il comparaissait devant le Tribunal de Bordeaux. Reconnu coupable, il a été condamné à seulement 6 mois de prison ferme.
Passé par la Libye, il est arrivé en France en 2016. Demandeur d’asile, il a été pris en charge par des associations pro-migrant et est actuellement logé à Artigues. Il y est décrit comme violent et agressif envers les autres résidents devant lesquels il a déjà sorti un couteau !
Depuis quand le Maroc est-il en guerre? Sans doute un Marocain déclaré non-gratta dans son pays pour les mêmes raisons que les faits en France. Ces associations pro-migrant doivent être épinglées par les pouvoirs publics car elles détruisent le bien vivre-ensemble dans les quartiers, en obtenant coûte que coûte des logements pour leurs protégés. C’est ainsi que l’on voit des réseaux de prostitutions qui profitent de ce laxisme et qui sont hébergés dans des HLM, en secret. Tandis que des Français, actifs professionnellement, peinent à trouver un logement social. Aux fainéants, Macron devrait ajouter les “gratteurs” envers ces personnes qui n’ont aucune bienveillance alors qu’ils nous demandent un effort humanitaire. Ces associations sont contre nature et mettent en péril la tranquillité publique et notre économie.