L’expression zone à défendre (ZAD) est un terme utilisé par les militants d’extrême gauche, et qui désigne un squat qui a pour but de s’opposer à la construction d’un projet d’aménagement public. Les exemples les plus récents sont celles de Notre-Dame-des-Landes ou du barrage de Sivens.
Dans les deux cas, les violences s’y sont multipliées contre les forces de l’ordre, l’Etat laissant ces zones de non-droit prospérer. En 2014, Pierre-Alexandre Bouclay, journaliste pour l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, avait réalisé un reportage en infiltration dans ces « zone à défendre», et expliquait dans une interview à TV Libertés les modes d’action de ces individus sur le terrain.
Depuis la décision de l’Etat de maintenir les projets de lignes à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, ces derniers mettent la pression sur les autorités et annoncent la création d’une nouvelle ZAD dans le sud de la Gironde.
Dans une lettre au président du conseil régional, le socialiste Alain Rousset, ces derniers menacent d’ouvrir la « plus grande ZAD de France » : « Nous continuons d’espérer que vous écouterez la voix de la raison et que vous abandonnerez ce projet inutile et destructeur. Dans le cas contraire, sachez que nous serons nombreux et déterminés à empêcher la réalisation de ce projet. Nous le ferons en occupant et en bloquant physiquement les chantiers, comme l’on fait nos camarades à Roybon, au Testet, à Agen, à Notre dame des Landes et dans bien d’autres lieux. Soyez donc certain que le premier coup de pelleteuse signifierait l’ouverture de la plus grande ZAD de France ». Ces derniers ont mené récemment une action à l’hôtel de région de Bordeaux afin de se rappeler au bon souvenir d’Alain Rousset.
Le projet de LGV Bordeaux-Dax et Toulouse est très décrié, non seulement à cause de son coût (7 milliards d’euros) et de son inadaptation aux besoins des habitants en terme de mobilité, mais aussi à cause de son impact sur l’environnement. Dans un communiqué de presse, la Fédération des Grands Vins de Bordeaux dénonce un « tracé retenu destructeur pour le vignoble des Graves ».
Pourquoi pas une ZAD sur le terrain du projet de maison de la charia à Bordeaux? Défendre notre terre contre la construction d’une mosquée! Voilà un combat qui aurait de la gueule!
Certes, ils sont anti-progrès mais pas anti-islam, bien au contraire! Ces foutraques sont inconscients à ce point qu’ils trouvent “formidable” de lécher les babouches et sont prêts à accepter sans broncher le statut de dhimmi! Ils ne sont fort heureusement qu’une minorité agissante, mais c’est encore une poignée de trop que ces activistes aussi débiles que nuisibles!
Ce n’est tout de même pas une bande de crasseux sectaires et ignares qui vont dicter les règles de l’aménagement du territoire! Que l’on pense ce que l’on veut du projet de la continuité de SAE est une chose, “menacer” pour imposer SA pensée en est une autre! Il y a, dans le contexte présent d’utilité publique, concertation et nombres de modifications de tracé et autres en découlant, cela, c’est la démocratie. Cette “mode des ZAD” est une insulte à la démocratie, il faut envoyer les bulls dès qu’un embryon des ces “illuminés” tentent de s’installer, d’autant qu’il n’en ont nulle légitimité. Oui à la concertation, et soyons sans pitié envers les anti-démocrates rouges et noirs!