Il y a encore quelques mois, l’ancien conseiller municipal de Saint-émilion, participait à la vie interne du Front national. Passé par le Grand Orient de France (classé à gauche), celui-ci avait rejoint le parti de Marine Le Pen avant l’élection présidentielle de 2012. A l’époque, Valéry Le Douguet (en photo avec Louis Aliot) aidait la présidente du Front national à construire son programme sur la justice, et n’hésitait pas à vanter ses qualités dans les journaux.
Valéry Le Douguet possède un parcours très sinueux, difficile à suivre. Il commence sa carrière politique en Bretagne. En 2001, cet avocat pénaliste frappe à plusieurs portes pour intégrer une liste pour les municipales de Quimper. Après avoir contacté le RPR Alain Gérard, il se tourne vers le Parti socialiste. Comme le raconte le député PS, Jean-Jacques Urvoas (à l’époque secrétaire de la Fédération socialiste du Finistère), dans le journal Télégramme : « Il soutenait, avec un aplomb incroyable, que nous avions besoin de lui pour que la mairie reste à gauche».
Le même journal donne des précisions sur la suite de son parcours : « En 2002, la nouvelle UMP – qui était alors l’Union pour la majorité présidentielle – prend forme. Valéry Le Douguet donnera de son temps et de son énergie, à Paris, auprès des hautes instances du mouvement politique naissant. Avant de repartir, il mettra la main sur des papiers ornés du nouveau logo de l’UMP. Arrivé en Bretagne, il déclarera devant la presse être le candidat de l’UMP pour les législatives sur la circonscription Briec-Quimper-Fouesnant.
Peu de temps après, Valéry Le Douguet quittait le barreau de Quimper pour s’inscrire à celui de Libourne (Gironde) où il a poursuivi sa carrière. Depuis, il s’est fait élire conseiller municipal auprès du maire UMP de Saint-Émilion (Gironde) ».
L’ancien chargé de mission à la direction générale du cabinet du maire de Paris à l’époque de Jacques Chirac a toujours entretenu de bonnes relations avec la gauche. En 2015, il était reçu à l’Elysée par Bernard Poignant. Selon le journal le Point, « François Hollande est même venu le saluer » !
Selon le journal Le Monde, Valéry Le Douguet a décidé de changer son fusil d’épaule, et vient d’annoncer son soutien à Alain Juppé pour la primaire de la droite et l’élection présidentielle à venir ! « Il me semble être l’homme idoine, celui qui est capable d’apaiser la situation économique, lâche sans rire Valéry Le Douguet. “Il a de la sagesse, est crédible sur le fond. Aujourd’hui, le vote utile, c’est Juppé”. Celui-ci a même prévu d’assister à son meeting organisé à Bordeaux, le 9 novembre…
Crédit photo : Vincent Isore
Il aidait la présidente du Front national à construire son programme sur la justice et copinait avec Taubira !
Encore une girouette !
Encore une girouette .
Personnalité peu intéressante Qu’ il vaut mieux avoir chez le voisin que chez soi !
Mythomane …
Mythomane peut-être mais surtout un politique qui mange à tous les râteliers, et surtout avec ceux qui lui rempliront un maximum les poches ! Le monde politique en regorge de ce genre de personnage sans aucune conviction que celle qui peut rapporter gros…
Ce n’est pas lui qui a failli être tête de liste à la place de Colombier aux régionales ?
un anti français de plus.Comment peut on en arriver à soutenir un traite pareil.Un fraudeur, et pro djihadiste. Ce type est un danger pour le pays.Prenez garde Françaises Français réfléchissez bien avant de faire l’irréparable
Je suis juif et je voterai Marine Le Pen
Le coup de gueule d’Uncle contre les bienpensants.
Depuis quelques semaines, la meute médiatico-politique est lâchée. Leur agressivité est à la hauteur de la cote de popularité de Marine Le Pen. Agissant sur ordre du pouvoir ou parce qu’ils sentent que leur ère s’achève, par instinct de conservation, telles des bêtes aux abois, ils mordent et griffent pour tuer.
Voter FN, je l’entends à longueur de journées depuis, c’est faire partie du camp du mal, d’une race à part, celle des primaires, imbéciles, racistes, antisémites, fascistes, nazis, xénophobes, bas du front, moisis, c’est avoir peur de l’autre, c’est sortir tout droit du ventre fécond de la bête immonde que l’on croyait morte, gisant dans les cendres du troisième Reich, c’est forcer le camp du bien à revivre le cauchemar des heures les plus sombres de notre Histoire.
Ces heures les plus sombres, je les connais messieurs les ricaneurs. Oui, il se trouve que je suis juif et que ma famille, comme tant d’autres, a fait la douloureuse expérience de la guerre et des camps de la mort.
Mon engagement politique a toujours été marqué par le rejet de tout ce qui de près ou de loin relevait du totalitarisme : Nazisme, fascisme, communisme et, aujourd’hui, islamisme.
Mes parents m’ont élevé dans des valeurs simples, mais essentielles à leurs yeux, de patriotisme, de respect et d’amour de la France, d’admiration de sa grandeur, son Histoire, sa littérature, son art, ses vins, ses paysages et terroirs, ses traditions, ses clochers, son élégance, sa diversité culinaire, ses fromages et tout un ensemble de choses jugées probablement désuètes et ringardes aujourd’hui. Dans la voiture, lorsque nous partions en vacances, ce ne sont pas des comptines que notre père, ancien résistant, nous faisait chanter, mais des chants patriotiques et révolutionnaires. Ils étaient de gauche, d’une gauche qui défendait les travailleurs, protégeait les plus faibles et les nécessiteux, une gauche pour qui progrès social rimait avec amour sacré de la patrie. Mais il est loin le temps où la gauche levait le glaive en s’exclamant « quoi ces cohortes étrangères feraient la loi dans nos foyers »… Il y a longtemps qu’elle a rallié les « Tyrans et les perfides ».
A moins de sombrer dans la plus profonde schizophrénie, lorsqu’on réalise que l’on est globalement d’accord avec ce que dit Marine Le Pen et en complet désaccord avec ce que disent ses adversaires de gauche ou de droite, lorsque l’on constate que les idéaux défendus par son parti sont dans la droite ligne de ce qui a forgé votre identité politique, vos valeurs et vos engagements, eh bien, on se doit d’ouvrir les yeux, de passer outre des années de conditionnement et de lavage de cerveau anti-FN, et de soutenir le parti qui incarne vos idées.
Oui, ils me font doucement rire ceux qui brandissent le drapeau du « Front républicain » et du « Cordon sanitaire » pour « faire barrage » au Front National. On ne les entend pas réclamer un Front Républicain contre les communistes, trotskystes, maoïstes, léninistes, polpotistes, castristes, chavezistes et autres marxistes en tout genre et aux mains pourtant tachées du sang des dizaines et dizaines de millions de morts, victimes de leur insupportable et infâme barbarie, fruit d’une idéologie totalitaire abjecte faisant encore régner la terreur sur une partie du monde, ce qui ne semble pas déranger les Drucker, Ruquier et toute cette clique puante de Canal+ qui reçoit à qui mieux mieux toute cette gauche criminelle.
Pas de cordon sanitaire pour nous protéger des socialistes, de cette gauche et de tout ce qu’ils ont compté de collabos pendant la seconde guerre mondiale, les Marcel Déat, Laval, Doriot, François Mitterrand, décoré de la Francisque des mains de Pétain pendant que d’autres, comme le Colonel De La Rocque, Croix de Feu, pourrissait dans un camp de concentration en Allemagne pour avoir dit non à cette abjection ! Ah les pourris ! Ah qu’ils ont l’indignation sélective et l’âme tranquille tous ces donneurs de leçons ! Tous ces « résistants » ! Vous en voulez des « heures les plus sombres » ? Vous en avez été les acteurs privilégiés ! Et je ne parle même pas des communistes qui, jusqu’en août 1941 étaient les alliés d’Hitler !
Ce n’est pas Jean-Marie ou Marine Le Pen qui se sont jetés dans les bras du Maréchal ou du Führer ! Et c’est cette gauche qui me traite aujourd’hui de facho ? Laissez moi rire !
Et vous tous, les usurpateurs qui prétendez parler « au nom des juifs », vous les gens du Crif qui ne représentez que vous-mêmes, de la Licra qui faites régner la terreur antiraciste et mémorielle en pourchassant des gens comme Eric Zemmour, oui, vous tous membres des associations communautaires qui vous permettez de passer outre vos fonctions en imposant votre propre idéologie qui n’est pas celle de tous les Français Juifs, vous de radio J qui avez infligé à Marine Le Pen cet affront de l’inviter puis de la jeter comme une malpropre, je vous le dis tout net : c’est terminé ! Game Over ! Votre chantage ne marche plus !
Vous prétendez aimer Israël mais vous appelez à voter pour des partis de gauche ou de droite pour qui Israël n’est qu’une parenthèse bien encombrante, pour l’UMP ou le PS, tous complices d’Eurabia pour quelques gouttes de pétrole, des contrats juteux et qui mènent une politique qui fera disparaître Israël ! Pour des gens qui aiment les juifs, morts, mais haïssent ceux qui, en Israël, bien vivants, se battent pour que leur pays et leur peuple survivent. Et vous nous dénieriez à nous, Français, le droit de vouloir que la France survive en tant que nation et en tant que peuple ? Je vous invite à la cohérence ! Ce n’est pas Marine Le Pen qui est tombée dans les bras du criminel Mahmoud Abbas qui fait offrir des gâteaux à son peuple pour fêter le massacre de la famille Fogel ! C’est Prasquier, président du Crif, Nicolas Sarkozy, président en exercice, et toute cette gauche palestinophrène ! Croyez vous que le FN fera pire ? Mais vous plaisantez ! Croyez vous que les Juifs rasent les murs dans certains quartiers en n’osant même pas porter une Kippa parce qu’ils craignent les militants du FN ? Allons donc !
J’aime la France, ma patrie, et je ne veux pas qu’elle meure ; là est ma priorité. Je suis français, patriote, juif, je voterai Marine Le Pen et, pardonnez moi cette grossièreté, messieurs du camp du bien, je vous emmerde.
Bon débarras, le FN n’est pas le parti pour les hommes politiques de ce genre