Les années se suivent et se ressemblent. Avec l’arrivée continue depuis plusieurs années de migrants en provenance de l’est de l’Europe ou du sud de la méditerranée, la délinquance continue de croître sur le département de la Gironde.
Le préfet de Gironde, Fabienne Buccio, a présenté ce mercredi 29 janvier le bilan de la sécurité dans le département aux côtés de Frédérique Porterie, nouveau procureur de la République de Bordeaux.
L’année 2019 se caractérise par une augmentation sensible de la délinquance dans le département. Les cambriolages progressent notamment de 20%, avec 8559 faits constatés !
D’autres indicateurs sont également à la hausse: les vols sans violence contre des personnes (+4%), les coups et blessures volontaires (+7%), les vols de véhicules (+11%), les vols à la roulotte (+15%), les atteintes aux biens (+8,3%), les violences sexuelles (+16,30%) ou encore les atteintes volontaires à l’intégrité physique (+ 9,1%).
A noter que les pompiers ont fait l’objet de 170 actes d’incivilités et 88 atteintes physiques.
Dans un communiqué de presse, la préfecture insiste sur les étrangers MNA (mineurs non accompagnés), qui sont la cause « d’une partie de la hausse de l’augmentation de la délinquance d’appropriation ». Selon le préfet, ces derniers « représentent 35 % en 2019 de l’ensemble des mineurs mis en cause » !
Si l’État reconnait que l’immigration est très présente dans la délinquance :)On était traité de racisme avant pour moins que ça ! Il y en a encore pour dire que l’immigration africaine est une chance pour la France ?
la montée de cette délinquance est un véritable fléau à prendre en compte rapidement.
Il faut lutter contre son installation, avant qu’elle ne prenne trop de place, en particulier lorsqu’elle est organisée en réseaux.
A côté de chez moi une dame âgée a subit un cambriolage. Depuis, elle est stressée, ce n’est plus du tout la même, elle semble avoir pris 10 ans et perdu une certaine joie de vivre. La peur d’être cambriolé(e) peut devenir traumatisante pour nombre d’entre nous. Donnons les moyens à notre police de lutter efficacement contre cette menace.
Les pouvoirs publics doivent également trouver une réponse mesurée et adaptée lorsqu’un délinquant se fait arrêter, afin qu’il ne récidive pas. Bien sûr c’est compliqué lorsque celui-ci s’avère être un mineur, dont souvent l’identité n’est pas déterminée; mais afin qu’il ne se joue pas du système, comme c’est souvent le cas, réfléchissons rapidement pour apporter une nouvelle réponse efficace à cette situation. Ce n’est pas le cas aujourd’hui.
Un MNA représente un bras armé idéal pour tous les réseaux de délinquance! Réagissons.
Interpellons nos élus, qu’ils s’impliquent réellement sur ce sujet.