Il se nomme « The Punisher » sur Twitter (@mehdimuaythai33). Ce bordelais, qui se décrit comme « Boxeur MuayThaï distributeur de low kick », souhaitait assister au procès de l’algérien Youssef Jabari, qui avait poignardé un passant lui laissant « plus de cinquante points de suture, une cicatrice de 15 centimètres de l’oreille jusqu’au menton ».
Cet homme était arrivé en France en 2019 et était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire ! Youssef Jabari n’a été condamné qu’à trois ans de prison ferme et interdit de territoire français pour une durée de cinq ans seulement !
« Au total 6 affaires de violences graves et de vols. 4 migrants algériens, 1 migrant marocain et une racaille irrécupérable. J’invite tous les bordelais à aller assister à cela pour se rendre bien compte de la situation gravissime de la ville de Bordeaux »
« Ce policier m’a également précisé : « tu vois ce mec (celui qui a égorgé une personne), il fait partie d’une bande de 60 migrants qui sévissent à Saint-Michel. Ils sont ultra dangereux. Ils sont tous armé de couteaux. On est démuni face à eux ».
« Car oui le Procureur a décrit toute la journée ce qu’il se passe à Bordeaux depuis 1 an : « une arrivée massive de migrants qui commettent des crimes sauvages quotidiennement. Agressions, coups de couteau, de cutter, de machette. Il est dangereux de sortir à bordeaux le soir ».
Le Procureur de la République fait son réquisitoire. Les larmes aux yeux et la voix tremblante. L’avocat de la victime dira ne l’avoir jamais vu dans cet état. Tout le long de la journée il n’a cessé de répéter les mêmes mots : ENSAUVAGEMENT. Des « sauvages » à #Bordeaux (12)
— Mehdi (@mehdimuaythai33) August 4, 2020
Le policier était désabusé. Il m’a vraiment décrit un cauchemar. Que la situation était extrêmement grave à #bordeaux. Plusieurs bande de migrants drogués et alcoolisés qui sont tous armés et qui n’hésitent pas à s'en servir. Des sauvages multi-récidivistes @PierreHurmic (16)
— Mehdi (@mehdimuaythai33) August 4, 2020
Son traducteur n’a cessé de répéter : «c’est pas moi wallah». Sauf que les victimes l’ont reconnu sur photo + derrière une vitre teintée et lors d’une confrontation. C’était en février, il a égorgé un homme de 30 ans rue du Mirail après la tentative de vol d’un téléphone (10)
— Mehdi (@mehdimuaythai33) August 4, 2020
le procureur pleurniche que ce sont des sauvages, non, ce sont des assassins! nous sommes devenus des larves!
L’explosion de l’hyper violence gratuite ou pour des raisons dérisoires affecte toute la France, y compris les petites villes de province.
Elle dépasse la simple question de la migration, y compris illégale. L’absence de réponse à la mesure de cette violence, toujours avec le biais compassionnel, accroit encore la fracture sociale, génère la création de groupes de protection et d’auto-défence. La Justice privée est entrain de renaître. Pour éviter ce phénomène qui peut régénérer en guerre civile, il faut traiter avec rapidité et une grande sévérité cette violence quotidienne que notre classe politique sous-estime. Il ne s’agit pas d’incivilités.
Les faits montrent qu’il y a une corrélation entre l’auteur des violences, son origine, son statut et son histoire. Ces causes ne sont pas des excuses.
Concernant les clandestins, le renvoi immédiat dans le pays on européen de départ, avec la prise d’une empreinte génétique peut être un début de réponse à une petite partie du problème qui peut constituer un signal fort.
le fonds de problème n’est pas que des clandestins tentent de venir à tout prix en Europe et en France, il vient du fait que nous avons mauvaise conscience, que nous n’avons aucune doctrine à la fois humaine et réaliste (notez qu’il s’agit d’une tautologie) concernant cette question et que la Justice, la Police, et les structure d’aide sociales sont totalement défaillantes.