Cinq suspects âgés de 19 à 21 ans ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils sont accusés du meurtre de Pierre Sourgen, âgé de 68 ans. Les faits se sont déroulés à Floirac, une commune à forte proportion d’étrangers, dans la banlieue de Bordeaux.
Samedi 10 avril dernier, cet habitant de Floirac a été tué par cinq individus, dans une cage d’escalier de sa résidence du Hameau de Bourbon (photo).
La victime a été découverte inanimée peu après 19 heures, dans une coursive technique de l’immeuble qu’il habitait, la tête en sang. Les secours dépêchés n’ont pas pu ranimer l’homme, décédé selon l’autopsie d’un «œdème cérébral post-traumatique suite à un fracas facial majeur manifestement dû à l’action d’un tiers».
Selon les éléments de l’enquête, des voisins ont souligné la présence régulière de jeunes dans les locaux, fumant et buvant. Quatre suspects âgés de 19 à 21 ans ont été identifiés, soupçonnés d’avoir tué Pierre Sourgen de façon gratuite. La victime avait l’habitude d’effectuer une balade avant de dîner. Il aurait alors croisé les jeunes et aurait fait une banale réflexion, suffisante pour déclencher leur courroux puis un déchaînement de violence. Les jeunes l’auraient fait chuter puis l’auraient roué de coups de pied, avant de l’abandonner à son sort et de prendre la fuite.
Le parquet de Bordeaux évoque “un véritable passage à tabac“. Le retraité ne présente en effet aucune marque de défense mais il a plusieurs fractures au visage : au niveau du nez, des yeux, des lèvres. Il a reçu des coups très violents, répétés, visiblement alors qu’il était au sol, d’après les analyses réalisées sur les projections de sang.
Le travail d’investigation des enquêteurs, notamment technique, a donc permis de remonter rapidement jusqu’aux cinq suspects. Ces derniers, qui sont au chômage, ont été déférés en vue de leur mise en examen. Une information judiciaire pour homicide volontaire a été ouverte.
Jean-Jacques Puyobrau, le maire socialiste de Floirac a réagi dans un communiqué : « Cet homme simple, courtois et très respectueux du bien vivre ensemble avait démontré par le passé et de manière bienveillante son souhait de vivre paisiblement dans notre Ville » !
Combien de français meurent tous les ans sous les coups d’étrangers que nos gouvernements ont fait entrer depuis 40 ans ? Quand le loup entre dans la bergerie, le coupable c’est d’abord la personne qui a ouvert la porte au loup. On s’en souviendra. RIP Pierre Sourgen
Assez de discours, de rabachages et autres indignations solitaires.
Le temps de l’action est venu.
Si nous voulons récupérer paix et tranquillité, il va falloir en payer le prix.
Sans oublier les traîtres immondes qui devront payer pour leurs actes.