Ce syndicat de droite, fondé par des anciens de l’UNI (Union nationale inter-universitaire), a pour but de défendre l’identité française et la civilisation européenne dans les facultés. Au-delà des partis politiques, il réunit les étudiants qui « se sentent liés par le souverainisme, l’identité et le refus du libéralisme ».
Implanté à Bordeaux, ces derniers veulent également « lutter contre le politiquement correct, l’extension des “gender studies” et la progression du décolonialisme ».
Dans un communiqué envoyé à la presse, ces étudiants dénoncent un climat de violence entretenu par des activistes d’extrême-gauche : « Depuis quelques années, la situation sur le campus de Pessac s’est considérablement dégradée du fait des agissements d’une poignée d’individus violents se réclamant de l’extrême gauche et de l’antifascisme. Par leurs dégradations, leurs menaces, leurs agressions, un climat délétère s’est installé sur la fac et plus particulièrement au sein de l’université Bordeaux-Montaigne.
(…) Les murs de la faculté sont régulièrement dégradés par l’extrême gauche. Au point que celle-ci ressemble désormais davantage à un terrain vague qu’à une université digne de ce nom. Ces multiples dégradations se combinent généralement à des menaces – d’agression physique, voire de mort – et ce sans la moindre réaction de l’administration. De surcroît, de nombreux collectifs d’extrême-gauche se vantent désormais régulièrement et publiquement sur leurs réseaux sociaux des actes illégaux qu’ils commettent. On peut ainsi citer les rondes effectuées par leurs nervis masqués et armés sur le campus, de jour comme de nuit, dans le but d’intimider physiquement les étudiants. Il faut également évoquer leurs occupations tout aussi illégitimes des locaux, notamment celle de la faculté de géographie (Campus Montaigne) pendant des mois, les laissant saccagés après chacun de leurs passages ».
(…) Pour restaurer une pluralité d’opinion aujourd’hui absente, pour l’avenir de nos étudiants et leur bien-être dans leurs études, pour que les universités bordelaises restent des lieux d’accueil et d’échange, il faut désormais agir. À ce titre, dissoudre les organisations qui se vantent ostensiblement de leurs méfaits comme l’Offensive Antifasciste Bordeaux pourrait être un premier pas dans la bonne direction. Néanmoins, le silence assourdissant des autorités vis-à-vis de la violence d’extrême-gauche nous fait craindre que ces individus malveillants bénéficient et continueront à bénéficier d’une tolérance coupable de l’université de Bordeaux et, plus largement, de l’Etat ».
Cette semaine, la Cocarde Bordeaux était présente dans l'amphi Aula Magna, devant près d'un millier d'étudiants, pour porter la voix du camp national.
Les chaleureux applaudissements qui ont conclu notre présentation démontrent bien que l'avenir nous appartient : rejoins-nous ! pic.twitter.com/psuDSx32vq
— La Cocarde Bordeaux (@CocardeBordeaux) October 28, 2023
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Bravo pour le courage des étudiants de la Cocarde.