Depuis de nombreuses années, dans une relative indifférence des pouvoirs publics, l’église du centre-ville de Bordeaux est la cible de dégradations de la part de militants de gauche.

Il y a quelques jours, ce sont des tags et des affiches hostiles qui ont été apposés pendant la « marche de nuit en non-mixité choisie (sans hommes cisgenres), pour construire ensemble notre autodéfense féministe, anticapitaliste, antiraciste et décoloniale ».

Cette fois ci, l’église qui ne bénéfice par de surveillance des forces de l’ordre (contrairement à la synagogue voisine), a cette fois ci été la cible d’un cambriolage.

Selon le journal Le Figaro, « la première église gothique de Guyenne a été cambriolée dans la nuit de samedi à dimanche. Le ou les voleurs ont forcé la sacristie, dévalisé le tronc d’offrandes pour les cierges et brisé le coffre-fort de la chapelle ».

« Ils sont aussi montés dans le clocher et ils ont fracassé le vitrail qui est derrière le maître-autel», déplore l’abbé Grégory Lutz-Wiest, le curé de la paroisse, auprès du Figaro. Le prêtre de l’Institut du Bon Pasteur, qui a porté plainte, estime à 2000 euros la somme dérobée dans le tronc des cierges. La réparation des vitraux – restaurés aux frais des paroissiens dans les années 2000 – pourrait quant à elle coûter plus de 10.000 euros ».

Cet incident s’inscrit dans une série d’agressions et de profanations qui touchent les lieux de culte catholiques en France. « C’est de pire en pire », s’inquiète l’abbé Grégory Lutz-Wiest, curé de la paroisse et membre de l’Institut du Bon Pasteur (vidéo ci-dessous).

Tags, insultes à la sortie de la messe, attaque de la libraire de l’église par un journaliste de Sud-Ouest…. Cela fait maintenant plusieurs années que les fidèles de cette église sont les victimes des exactions de la gauche et de l’extrême-gauche dont certain sont proches de l’actuelle équipe de la maire de la ville.