La ville du Médoc, connue pour abriter certains des châteaux les plus prestigieux de Bordeaux, est aussi réputé pour contenir des communautés gitanes et maghrébines, ce qui entraine de régulières tensions.
Un jeune homme, désormais placé sous contrôle judiciaire, s’est réfugié à la brigade de gendarmerie de Pauillac hier après avoir été traqué dans le bourg. En effet, revenu à Pauillac après sa libération, il a été reconnu par des proches d’un jeune homme qui avait trouvé la mort. Ces derniers ont donc organisé une chasse à l’homme, n’hésitant pas à tirer des coups de feu en pleine rue.
Pour Grégoire de Fournas (photo), le responsable local du Front national, cette situation n’a que trop duré. Dans un communiqué de presse, ce dernier dénonce « le communautarisme provoqué par l’immigration de masse ainsi que le laxisme total de nos dirigeants en matière de sécurité et de réponse judiciaire (…) le Front National demande qu’une réponse ferme et courageuse soit apportée. Le renforcement du nombre de gendarmes à Pauillac doit être une priorité ».
Aux dernières élections européennes, la ville de Pauillac avait porté en tête le Front national avec plus de 35% des suffrages.
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Marocains contre Gitans, on s’en fout, c’est pas les affaires des Français. Vivement que le Front arrive…
Le jour où le FN aura le pouvoir, il faudra demander des comptes à tous ces “responsables” qui ont livré notre patrie à l’étranger. Haute trahison.
Esope.
Justice, force.
Il est juste que ce qui est juste soit suivi ; il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi.
La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique.
La justice sans force est contredite, parce qu’il y a toujours des méchants. La force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et pour cela faire que ce qui est juste soit fort ou que ce qui est fort soit juste.
La justice est sujette à dispute. La force est très reconnaissable et sans dispute. Aussi on n’a pu donner la force à la justice, parce que la force a contredit la justice et a dit qu’elle était injuste, et a dit que c’était elle qui était juste.
Et ainsi, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste.
Pascal Blaise, Français,né à Clermont-Ferrand en 1623 et mort en 1662.