Le débat pourrait prêter à sourire, mais ce n’est pas de la fiction. Depuis plusieurs semaines, des activistes de gauche, relayés complaisamment par la presse locale, s’activent pour faire annuler la décision du regroupement pédagogique intercommunal Uzeste/ Pompéjac / Lignan de Bazas de ne plus servir de repas de substitution dans ses cantines.
En effet, ce syndicat qui sert une centaine de repas par jours a décidé d’enlever les plats de substitution au porc servis aux enfants ne voulant pas manger cette viande. Alors que les menus sont affichés à l’avance, plusieurs familles ont porté plainte au motif que cette suppression serait une mesure « discriminatoire » et « anti-musulmans ».
Défendues par Maître Christelle Jouteau (membre du très à gauche Institut de Défense des Étrangers et de Nouvelle Donne) ces trois familles ont vu leur plainte classée par la justice, mais un recours a été déposé devant le tribunal administratif. Interrogée par le journal Les Républicains, madame Lenka Vural résumait la situation d’une phrase lapidaire « chez nous, on ne mange pas de porc » !
Pourtant, plusieurs élus socialistes assument clairement leur opposition aux repas de substitution et leur défense de la laïcité, parmi lesquels le maire de Pompéjac (Isabelle Dexpert, par ailleurs vice-présidente (PS) du Département) et celui d’Uzeste (Jeanne-Marie-Baup, longtemps encartée au Parti socialiste). Manuel Lajara, adjoint au maire d’Uzeste et président du Syndicat de regroupement pédagogique intercommunal justifiait d’ailleurs sa décision par « le respect de la laïcité et le coût de plats de substitution ».
Mais quelques activistes de gauche, réunis en collectif, ont lancé une pétition réclamant le retour de ces plats de remplacement au porc. Intitulée « Un repas pour tous les enfants », elle n’a recueilli qu’une centaine de signatures.
A l’origine de cette initiative, deux femmes Betty Cazade et Lucile Hugon. La première née Betty Righetti, est conseiller municipal de la commune d’Uzeste. La deuxième se nomme Lucile Hugon (photo). Cette avocate bordelaise est également membre de l’Institut de Défense des Étrangers. Pour ces dernières « des enfants n’ont plus droit à un repas équilibré les jours où du porc est au menu ».
Selon un sondage Odoxa/CQFD-iTélé, 53% des Français sont opposés à l’instauration de menus de substitution dans les cantines des écoles publiques.
L’école publique est laïque. S’ils veulent manger en fonction de leur religion, ils ne vont pas à la cantine, sinon ils fondent leurs propres écoles, mais qu’ils arrêtent de nous faire chier !
Ras le bol ! Les enfants végétariens ne se plaignent, eux, ils laissent la viande et mangent les légumes. Enfant il y avait 2 musulmanes qui mangeaient à la cantine et il n’y avait pas tout ce raouf !
Non, surtout pas les laisser ouvrir leurs écoles. Il y en a déjà et malheureusement la plupart des gamines sont voilées.
Les femmes qui ne travaillent pas ne mettent pas leurs enfants à la cantine et les autres s’adaptent. Point barre. Il n’y a pas besoin de tergiverser. Il faut être ferme et dire non.
La presse locale c’est notamment Elisa Artigue-Cazcarra du sud ouest. Ce serait bien de savoir pourquoi elle médiatise autant ce truc. Elle s’ennuie ? Elle est amie avec une des deux filles ?
je suis d’avis à zuba. Si pas contents qu’ils aillent ou retournent au pays.
Et les parents que ça dérange peuvent pas faire un sandwich le jour où on sert du porc ! Si l’administration doit se plier à toutes les interdictions alimentaires à la mode, on n’est pas sortis d”auberge. A Rome, fais comme les romains disait l’adage
C’est vrai ça ! Un bon sandwich rosette cornichon…
Et si je demande su saucisson à la cantine en Algérie, on va me dire quoi à votre avis ?
La France tu l aimes ou tu te casses